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    Quelques vérités sur "HANOUCCAH.et Noël

     

    Quelques vérités sur "HANOUCCAH"... et "Noël" !


    Rediffusion 2014

    Voir article revu et corrigé ici:
    http://jyhamon.eklablog.com/quelques-verites-sur-h-anoukah-a103316009


    D'après une réflexion de Sylvie B, vendredi 30 novembre 2012, 15:47

    Note JYH: Attention au site "Communautés Chrétiennes Evangéliques" qui se prétend de plus "messianique" alors qu'il fait la promotion des doctrines romaines (dont la fausse "trinité") en introduisant les fêtes non bibliques de "Hannouka" et donc du Noël païen !
    Ils ne font que participer à cet oeucuménisme trompeur (et apparemment "sympathique") qui conduit à la reconnaissance de l'antichrist comme sauveur !

     Il faut choisir entre être "chrétien évangélique" et être "disciple de Yeshoua" !
    Le "christianisme" ment depuis au moins 17 siècles !

     

    Quelques vérités sur "HANOUCCAH" (... et "Noël") !

    Jérusalem

     

    Quelques vérités sur "HANOUCCAH" (... et "Noël") !

                                      Rome

     

    Quelques vérités sur "HANOUCCAH"... et "Noël" !

                                       Lyon (capitale des Gaules)

    Quelques vérités sur "HANOUCCAH"... et "Noël" !

    Attention aussi à la Menorah à 9 branches, d'origine "juive rabbinique et talmudique"... donc seulement "religieuse".

     

    Outre les fêtes de l’Eternel (Lévitique 23) les Juifs ont coutume de célébrer d’autres dates, notamment en ce mois de Kislev.

    Croyants en Yeshoua haMashiah’, devons-nous célébrer ces autres fêtes ou pas ?

    Tout fidèle à Elohim et à Sa Torah (Juif ou non) devrait-il fêter ces autres dates ? 

    Certains  nous disent que nous devons aussi célébrer ‘Hanouccah puisque Yeshoua la célébrait aussi ;

    Nous pouvons lire en Jean10 : 22 « On célébrait à Jérusalem la fête de la Dédicace. C'était l'hiverEt Jésus se promenait dans le Temple »

    Mais « La Dédicace » est-ce exactement la même fête que ‘Hanouccah ?

    > Déjà, il ne s’agit pas de la fête de dédicace du Premier Temple ; la fête de la consécration du temple, célébrée par Salomon, a coïncidé avec celle des Huttes en automne (Souccot) (I Rois 8:1-2 et 63).

    Ce premier Temple a été détruit.

    > Il ne s’agit pas de la fête de dédicace du Second Temple ; pour la reconstruction de l'autel et  du temple, voir Esdras 3 :1 à 6 :16

    La maison fut achevée le troisième jour du mois d'Adar (février-mars) dans la sixième année du  règne du roi Darius. Les enfants d'Israël, les sacrificateurs et les Lévites, et le reste des fils de la captivité, firent avec joie la dédicace de cette maison de Dieu. (Esdras  6:15-16)

    > Voyons L'HISTOIRE de 'HANOUCCAH

    (prise sur le site Chabad.org  mais commune à tous les courants du judaïsme) :

    { A l'époque du deuxième Temple, après le partage de l'empire d'Alexandre le Grand, l'armée grecque d'Antiochus Epiphane envahit la terre d'Israël. Les Grecs persécutèrent les Juifs en leur interdisant, sous peine de mort, l'étude de la Torah et la pratique des Mitsvot. Le Temple de Jérusalem, le Beth Hamikdach, fut saccagé et profané.

    De courageux Cohanim, les 'Hachmonaïm, ne se résignèrent pas et se rebellèrent contre l'envahisseur. Menés par Matitiahou, puis par ses fils (dont Judas dit « Maccabée), et animés d'une confiance absolue en D.ieu, ils finirent par remporter une victoire miraculeuse sur la puissante armée grecque le 25 du mois de Kislev.

    Ce premier miracle fut suivi d'un second : lors de l'inauguration du Temple après la victoire, il n'y avait plus d'huile pure pour allumer la Ménorah, le candélabre à sept branches, et huit jours étaient nécessaires à la confection d'une nouvelle huile.

    Les Cohanim fouillèrent le Temple de fond en comble et ne trouvèrent qu'une petite fiole d'huile dont le contenu ne pouvait servir à allumer la Ménorah qu'une seule journée. Ils décidèrent malgré tout d'allumer la Ménorah et c'est là que se produisit le second miracle : l'huile brûla pendant  huit jours.

    C'est pour remercier Hachem pour les bienfaits et les miracles qu'Il nous a prodigués que les Sages ont institué la fête de 'Hanouccah.

    - Avant l'allumage, le maître de maison, et éventuellement tous les garçons de la maison lorsque ceux-ci allument leur propre Ménorah, prononcent les deux bénédictions :

    1. « Barou'h Ata Adonaï Elohénou Mélè'h Haolam Achère Kidéchanou Bemitsvotav Vetsivanou Lehadlik Ner 'Hanouka »

    Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’Univers, qui nous a sanctifiés par Ses commandements et nous a ordonné d’allumer les lumières de 'Hanouka.

    puis 2. « Barou'h Ata Adonaï Elohénou Mélè'h Haolam Chéassa Nissim Laavoténou Bayamime Hahème, Bizmane Hazé »

    Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’Univers, qui a fait des miracles pour nos pères en ces jours-là, en ce temps-ci.

    - Lois de 'Hanouka :

    Les femmes et jeunes filles ont-elles l’obligation d’allumer la ‘Hanoukia ?

    Les femmes et jeunes filles ont subi de terribles restrictions durant l’occupation gréco-syrienne. Par ailleurs, la victoire militaire fut en grande partie due à l’action héroïque d’une femme, Yéhoudit(Judith). C’est pourquoi les femmes et filles ont l’obligation d’assister à l’allumage des lumières de 'Hanouka. Dans le cas où il n’y a pas d’homme (ou de garçon de plus de treize ans) pour les rendre quitte, elles allumeront leurs propres lumières de la fête. 

    - Quelques coutumes de 'Hanouka :

    Pour commémorer le miracle qui est arrivé avec de  l'huile, il est de coutume de manger des aliments frits dans de l'huile : les « Latkès » (beignets de pommes de terre) et les « Soufganiot » (beignets à l'israélienne).  Des mets lactés, comme des Latkès au fromage, sont également consommés en souvenir des actions héroïques de Yéhoudit (Judith). } (Fin de l'histoire).  

     

    > Quelles sont les SOURCES de cette fête de ‘Hanouccah ?

    On ne trouve pas l’histoire des ‘Hachmonaïm, Matitiahou et ses fils dans le Tanakh (Bible hébreue) mais dans deux livres apocryphes : et 2 Maccabées.

    Vérifions ce que fête le judaïsme :

    - "une victoire miraculeuse ... le 25 du mois de Kislev." 

    C’est inexact. En fait ce n’est pas le 25 kislev que la victoire fut remportée et il n’y en eut pas qu’une (I Maccabée 3 et 4)

    et la réhabilitation du Temple prit du temps !… voir I Maccabées 4 : 36-51, I Maccabées 4 :52-59, 2 Maccabées 1 :18, 2 Maccabées 10 :1-8

    - "second miracle : l'huile brûla pendant huit jours" ???  

    2 Maccabées 10 :1-8  "Grâce au Seigneur qui les dirigeait, Judas Maccabée et ses compagnons reprirent  le temple et toute la ville de Jérusalem. Ils détruisirent les autels que les étrangers avaient construits sur la place publique, ainsi que les autres lieux de culte païens. Ils purifièrent le temple et bâtirent  un nouvel autel des parfums. Puis utilisant la pierre ils firent jaillir du feu pour allumer le feu sur l’autel et ils offrirent un sacrifice pour la première fois depuis deux ans, ilsbrûlèrent le parfum (l’encens), allumèrent les lampes et disposèrent les pains offerts  à Dieu. …. La purification du temple eut lieu à la date même où les étrangers l’avaient profané, c’est-à-dire le vingt-cinquième jour du mois de Kislev. Ils prolongèrent  les cérémonies et les réjouissances pendant huit jours……. Ils décrétèrent dans une ordonnance publique faite à toute la nation juive que ces mêmes jours seraient solemnisés chaque année."

    Il s’agit de la dédicace de l’autel. Et Nulle trace d’une histoire de fiolle d’huile et d’un miracle !...

     - "en souvenir deYéhoudit." ?!  

    Déjà, le Livre de Judith n’est pas dans le Tanakh ! Ensuite, les exploits de Yehoudit sont du temps de Nebucanetzar (roi des Assyriens, 12e année de son règne, 653 avant Jésus-Christ), avec le maréchal de son armée Holopherne (et non avec les Grecs) ! Tout est mêlé !!!

    - Et évidemment, comme pour les bougies de Shabbat nous pouvons si nous le désirons allumer des bougies pour 'Hanouccah , mais certainement pas dire la bénédiction 1, car ce n’est pas D.ieu qui l’a commandé !

    Ainsi 'HANOUCCAH n'est pas vraiment la "fête de la Dédicace" telle qu'elle était fêté du temps de Yeshoua !

    > Par contre lorsqu’on poursuit la lecture du Livre nous trouvons encore d’autres dates de fêtes mais qui ne sont pas respectées dans le judaïsme :

    - 1 Maccabées 7 :43-49 "Les armées engagèrent le combat, le treizième jour du mois de Adar, et l’armée de Nicanor fut vaincue. Lui-même fut le premier tué dans la bataille ……… Le peuple fut rempli de bonheur et fêta ce jour-là comme une journée de grande joie.  Les Juifs décidèrent  de célébrer cette fête chaque année, le treizième jour du mois de Adar." 

    - 2 Maccabées 15 : 28-36 "Le combat terminé, les Juifs tout heureux se retiraient du champ de bataille, lorsqu’ils  découvrirent le cadavre de Nicanor, avec toutes ses armes …… Judas …… donna l’ordre de couper la tête de Nicanor, ainsi que son bras droit, et de les porter à Jérusalem ……… L’assemblée décida,  par un vote unanime,  que ce jour  ne devait  jamais être oublié.  On le célébrerait  chaque année,  la veille du jour dit  de Mardochée  (voir Esther 9 :17- 22 :31),c’est-à-dire le treizième jour du douzième mois, appelé Adar en araméen." 

    Dans le judaïsme nous trouvons bien une célébration le 13 Adar, mais ce n’est plus en souvenir de cette victoire sur Nicanor !! pourquoi ?... 

    CHABAD.ORG : « Le 13 Adar (veille de Pourim) commémore le combat que les Juifs durent livrer contre leurs ennemis, il est coutume de jeûner. Ce jeûne porte le nom de « Jeûne d’Esther ».

     

    Nous poursuivons le texte :

    - 1 Maccabées 13 :49-52 "Jérusalem, les occupants de la forteresse étaient toujours empêchés de sortir pour acheter ou vendre quoi  que ce soit dans la région. Ils souffraient tellement de la faim qu’un  bon nombre d’entre  eux moururent. Ils supplièrent Simon de  faire la paix avec eux, ce qu’il leur accorda. Il les fit sortir de la forteresse et il la purifia de ce qui la souillait. Les Juifs y entrèrent  avec des acclamations de louange, le vingt-troisième jour du deuxième mois de l’année 171 (mois de Iyar, mai ; l’occupation de la forteresse par une garnison syrienne avait duré 26 ans) ;  ils portaient  des palmes, chantaient  des hymnes et des cantiques au son des harpes, des cymbales et des lyres : un grand ennemi avait été vaincu et chassé d’Israël. Simon décida que chaque année on fêterait joyeusement cette journée."  

    23 Iyar ? cela n’est plus fêté dans le judaïsme !! pourquoi ?... 

     

    En conclusion, ce serait plutôt logique de ne plus fêter la dédicace de l’autel d’un Temple qui n’existe plus, ayant été détruit par les Romains en 70, comme ne sont plus fêtées la dédicace des Premier (Tishri) et Second Temple (Adar). 

     

    Voir aussi: http://jyhamon.eklablog.com/un-enfant-nous-est-ne-les-fetes-de-l-eternel-a58149595



    JYH
    7/12/2012
    (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d'en redonner le texte intégral et les sources)




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    Comment le nom du Sauveur a été changé

     

    Source: http://www.yaiy.org/literature/FrenchHowSaviorName.html

    Note de Liliane : La parole de YHWH dit qu'à la fin la connaissance augmentera. Merci Père parce qu'il en est vraiment ainsi. Je me suis longtemps posée la question de ce fameux nom et surtout comment un "chrétien ", alors qu'il prononce le mot "jésus", peut-il être anathème, parce que c'est un fait il y a de telles dérives que bon nombre sont anathèmes.

    1 Corinthiens 12

    C’est pourquoi je vous déclare que nul, s’il parle par l’Esprit de YHWH, ne dit : Yashoua  est anathème ! et que nul ne peut dire : Yashoua est le Seigneur ! si ce n’est par l Ruah Ha Kodesh.

    Puis je me suis dit pourquoi la parole de Yahvé insiste-t-elle tant sur le NOM du Sauveur, alors que les hommes de toutes dénominations le banalisent et en font un "tronc commun"... ? Nous en arrivons bien à ce fameux oecuménisme, tous sous la bannière d'un dieu qui au final n'est pas Yahvé et encore moins Yashoua.

    Regardez combien il est difficile de sortir de Babylone, des griffes de l'oiseleur. La parole de Yahvé dit clairement "qu'il n'y a AUCUN AUTRE NOM par lequel nous avons le salut". Actes 4:12

    Le malin connaît les pouvoirs spirituels, il est esprit et n'a pas de limite de compréhension comme les humains. En voilant le vrai nom, il a tout simplement oeuvré pour l'arrivée de l'impie qui sous un nom commun à tous, séduira même les élus si cela est possible...

    Banaliser le Nom du Sauveur, c'est banaliser CE QUE DIT YAHVE, le Créateur de nos vies, le Père des Lumières.

    Comme quoi, l'on peut passer sa vie dans des mouvements religieux dit libérés, pour qu'au final la parole de Yahvé se révèle ETRE LA SEULE VERITE.

    Sortons de Babylone, de toutes ces dénominations qui ne sont que les filles de la grande prostituée.

    Bonne lecture, sourire

    =========================================================

    Le Sauveur est né à Bethléhem en Judée d’une vierge juive qui parlait l’hébreu (ou peut-être l’araméen), une langue sémitique. Il est né dans une société où l’hébreu était la langue courante. L’ange Gabriel avait annoncé à Miriam , la mère, que l’Enfant qui allait naître sauverait son peuple Israël de ses péchés. Son nom, par conséquent, reflèterait cette signification et cette mission...

    La Bible montre qu’à chaque fois que des personnes ont été interpellées d’en haut, c’étaient toujours des personnes qui connaissaient ou parlaient l’hébreu.

    L’hébreu était sans aucun doute parlé dans le jardin d’Éden. La Bible est un livre hébreu, donné à des auteurs hébreux remplis de l’esprit.

    La seule langue parlée au cours des 1 757 premières années – jusqu’à l’incident de la tour de Babel – fut l’hébreu.

    Nous devons donc en conclure que l’hébreu est la langue céleste. 

    Genèse 10 : 30 révèle que les fils de Sem décidèrent de ne pas joindre le projet dans les plaines de Schinear (Genèse 11 : 3) où la tour de Babel était construite.

    Selon Genèse 10, ils habitèrent à Méscha, près du mont Sephar. Leur langue hébraïque ne fut pas changée.

    Note de Liliane : A noter que c'est de Sem que descend Abraham... pas d'un autre fils de Noé... Sem qui ne s'est pas associé à Babel...

     

    Ayant toutes ces évidences, nous devons demander pourquoi nos Bibles appellent le Sauveur par le nom de Jésus, nom qui n’est ni juif ni hébreu. Jésus n’a aucune traduction dans quelque langue que ce soit.

     

    Pourquoi une jeune femme juive, dont la langue maternelle était l’hébreu, qui habitait dans une communauté juive constituée d’Hébreux, qui avait été avertie par le messager céleste Gabriel, donnerait-elle à son nouveau-né un nom hybride gréco-latin ne comportant pas la signification de Sauveur dans aucune de ces deux langues ?

    Le mot grec pour sauveur est « soter », alors que le mot latin est « salvare ». Aucune partie de ces mots ne se trouve dans « Jésus », un nom qui n’a pas de sens étymologique.

    Rappelez-vous que l’ange avait dit que Son Nom serait lié à Son dessein de Sauveur.

     

    Jésus n’est pas son nom

     

    En fait, Jésus n’est pas – et ne fut jamais – Son nom. Le célèbre érudit et archéologue Ernest Renan écrit que le Sauveur ne fut jamais appelé Jésus pendant sa vie !

     

    De plus, il n’y a pas aujourd’hui – et il n’y en a jamais eu – de lettre « j » équivalente dans les 22 lettres de l’alphabet hébreu.

    Il n’y a pas non plus de lettre en hébreu qui aurait ne serait-ce qu’un son approximatif du « j » anglais. Et il n’y a pas non plus de lettre « j » dans l’alphabet grec.

     

    Même le « j » anglais a une origine récente, puisqu’il est apparu dans la langue anglaise il y a seulement 500 ans, où il remplaça la lettre « i » habituellement placée en début de mot.

    La question qui se pose est la suivante : quel était le nom du Sauveur avant que la lettre « j » n’existe ?

    Pendant quelque 1 500 ans, Il fut bien évidemment appelé par un autre nom qui ne pouvait pas contenir la lettre « j ».

     

    Ses disciples Juifs l’auraient-ils appelé par un nom hybride gréco-latin alors que la Bible dit que c’étaient des hommes du peuple sans instruction (Actes 4 : 13) ?

    Ces hommes étaient de simples pécheurs qui parlaient l’hébreu, ou éventuellement un dialecte araméen assez proche.

    Leur discours en hébreu fut ensuite traduit en grec par des linguistes qui nous ont donné l’histoire dans nos Bibles. 

     

    Ceci est une étude qui approfondira l’origine du Jésus français ou anglais (Jesus) et fournira les preuves – à la fois tirées de la Bible et de sources laïques – révélant que le nom donné depuis les cieux était le nom hébreu « Yahshua » [ndt : à prononcer « Yahshoua » en français], le même nom que celui du fils de Nun de l’Ancien Testament que nous connaissons sous le nom de Josué dans les Bibles françaises.

     

    Un fils porte le nom de son père

     

    Le Sauveur a clairement déclaré dans Jean 5 : 43 : « Je suis venu au NOM de mon Père ».

    Ce passage signifie qu’Il portait le nom de son Père. Sa signification n’est pas seulement limitée à Sa venue par l’autorité et l’ordre du Père céleste.

     

    Tout comme aujourd’hui le nom de famille se transmet du père au fils, on peut s’attendre à ce que Yahshua ait porté le nom de son Père céleste, ET qu’Il soit venu avec son autorité.

    Au Moyen-Orient, un nom porte en lui beaucoup plus de signification et a des implications plus profondes que les noms dans la société occidentale actuelle.

    Il y a bien une raison pour laquelle le Sauveur est né dans une société du Moyen-Orient qui accorde encore aujourd’hui une grande importance au nom d’une personne.

     

    Le Sauveur poursuit dans ce passage en disant que même si le peuple ne l’a pas reçu, si un autre venait en son propre nom, le peuple le recevrait.

    Il ajouta aussi que Moïse avait écrit à son sujet, se référant sans doute à Exode 15 : 2 : « C’est Yah qui m’a sauvé [le mot « sauvé » est tiré de l’hébreu shua, c’est-à-dire Yah-shua]. (Voir aussi Deut. 18 : 15-19).

     

    Comme nous l’avons déjà vu, le nom du Sauveur est essentiellement le même que le nom traduit en français par Josué (ou Joshua en anglais), le fils de Nun (Nombres 13 : 16).

    Le nom de Josué était à l’origine Hosée (Hoshea ou Hoshua), mais Moïse avait joint comme préfixe la forme courte ou poétique du Nom sacré, Yah, l’appelant ainsi Yahoshua, ce qui signifie le Salut de Yah.

     

    Selon les autorités linguistiques, à partir de la captivité babylonienne, le son « o » fut abandonné, et à l’époque de la naissance du Sauveur, le nom n’était plus « YahOshua » mais plutôt Yahshua.

    Cette habitude de raccourcir les noms est très courante. Par exemple, « bedlam » provient de Bethléhem, Jon de Jonathan, et Liz ou Beth d’Élizabeth.

     

    Le Sauveur Yahshua est effectivement venu au nom de son Père, car son nom veut dire « le salut de YAH ».

    Son nom contient le nom de famille céleste sacré et poétique Yah : YAHshua.

     

    Il suffit de regarder dans Actes 7 : 45 et Hébreux 4 : 8 dans la traduction anglaise King James où le nom hybride « Jesus » apparaît de façon erronée (la Bible française Louis Segond traduit à juste titre « Josué » et non « Jésus »).

    Il est évident que les scribes ont parcouru la Bible anglaise King James et ont changé partout le vrai nom de Yahshua en « Jesus ».

    Faisant un excès de zèle, le nom Joshua (en fait Yahshua, traduit par Josué en français), le fils de Nun, a été lui aussi par erreur remplacé par le nom hybride « Jesus » !

    Plus tard, les Bibles King James révisées ainsi que d’autres traductions l’ont remplacé par le nom correct Joshua.

     

    Aucun autre nom n’offre le salut

     

    Le salut vient de Yahshua le Messie. Le salut est par Lui seul. « Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4 : 12).

     

    Aucun autre nom ! C’est le même nom donné par l’ange Gabriel à la mère de Yahshua avant Sa  naissance.

     

    Veuillez s’il vous plaît noter que la Bible dit de façon spécifique qu’il n’y a aucun autre Nom !

    Elle ne dit pas : aucune autre « personne », ce qui pourrait vous permettre de L’appeler par n’importe quel nom que vous souhaitez.

    Yahshua est le seul Nom par lequel nous recevons le salut. Il n’y a pas d’autre nom que Yahshua, qui signifie littéralement le salut que Yahweh a envoyé.

     

    En parlant aux Juifs repentants lors de la Pentecôte, Pierre fut inspiré de donner le nom spécial par lequel nous recevons le salut.

    Il n’a pas dit d’être baptisé en la personne du Messie.

    Dans Actes 2 : 38, Pierre nous a donné un ordre spécifique qui est de se référer au nom personnel donné par le Père : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Yahshua le Messie, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit ».

     

    C’est certain, Yahshua, en tant que personne, est important.

    Mais le Nom qu’il a reçu de l’ange vient des cieux et a une signification particulière pour le Sauveur, car ce Nom comporte le Nom même de Yah-weh le Père.

    Le Nom Yah-shua manifeste à la fois le Père et le salut qui est dans Son Fils Yahshua.

     

    Après avoir eu connaissance de la vérité, nous devons y marcher en toute obéissance. La plupart d’entre nous avons appris des vérités plus profondes à des petits échelons.

    Nous avons ensuite mis en pratique ce que nous avions appris.

    Yahweh continuera de nous révéler plus de vérité seulement si nous acceptons et suivons les choses qu’Il nous a montrées.

    Pourquoi devrait-Il donner plus de discernement à ceux qui rejettent et se rebellent contre ce qu’Il a déjà révélé ?

     

    Une fois que nous connaissons la vérité, l’ignorance passée ne justifie pas le fait de poursuivre dans l’ignorance. « Yahweh, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils ont à se repentir » (Actes 17 : 30).

    Il révèle Sa vérité à ceux qui veulent la chercher et la mettre en pratique.

     

    Le Nom Yahweh a été masqué

     

    Comment le Nom sacré a-t-il été changé dans nos Bibles ?

     

    Les quatre lettres du Tétragramme (YHWH) représentant le nom du Père ont commencé à être cachées par les prêtres israélites.

    Cela se poursuivit ensuite à cause de l’ignorance des premiers traducteurs chrétiens.

     

    Les scribes juifs superstitieux, connaissant Lévitique 24 : 16 ainsi que d’autres versets demandant le respect du Nom de Yahweh, décidèrent que la meilleure façon de ne pas Le blasphémer serait d’utiliser des titres en guise de substituts au lieu de prononcer le Nom propre Yahweh.

    Ne jamais permettre que quiconque prononce le Nom sacré éliminait, à leur avis, la possibilité de le blasphémer.

     

    Pour éviter la lecture du Tétragramme et la prononciation du nom Yahweh, les scribes avaient placé les signes diacritiques des voyelles du mot Adonaï sur les lettres hébraïques de Son Nom.

    En fait, la première voyelle avait le son « ai » comme dans le mot « faire » si bien que le lecteur lisait Yeh et ainsi ne laissait même pas échapper le son de la forme courte ou poétique Yah. C’était un zèle malencontreux.

     

    Les premiers traducteurs cachent aussi Son Nom

     

    Les premiers traducteurs chrétiens n’étaient pas des érudits dans la langue hébraïque.

    En fait, la plupart ne connaissaient pas du tout l’hébreu, mais seulement le grec et le latin. Pensant qu’ils n’avaient « rien à faire avec ces Juifs odieux », ils refusèrent même d’apprendre l’hébreu et étaient ainsi incapables de lire l’Ancien Testament dans sa langue originale.

    Leur principale source d’information était la traduction grecque des Septante (de l’Ancien Testament) et non les textes originaux hébreux.

     

    Le grec a trois déclinaisons du nom, trois genres et cinq cas.

    Le suffixe (terminaison) du nom indique son usage dans la phrase, chose qui est aussi vraie dans la plupart des langues européennes.

     

    Par exemple, en grec, le nominatif masculin singulier du nom de notre Sauveur se termine par « s ». Cela explique pourquoi il y a tant de noms propres dans la Bible anglaise King James dont l’hébreu a été changé et remplacé par la terminaison grecque avec le « s », comme Judas, Elias, Jonas, Esaias, Zacharias, Jermias, Annas et Silas.

     

    Ces noms furent tirés da la version grecque des Septante sans prendre en considération que c’était des noms hébreux (ayant souvent la terminaison « Yah »).

     

    Comme nous l’avons mentionné plus haut, ni l’hébreu ni le grec n’ont de lettre « j ». À la fois la lettre latine et anglaise (française également) « i » - comme dans le mot police - sont considérées comme l’équivalent de la lettre hébraïque « yothe » (appelée aussi « yod »).

     

    Le nom du Sauveur ne devrait jamais commencer par le son « j » comme dans « journée » mais devrait plutôt commencer avec le son « i ».

     

    Dans la version des Septante, la lettre grecque équivalente pour Yahshua commençait par un « I » majuscule (ou iota) ; elle fut correctement traduite en latin par un « I » majuscule et était utilisée comme « I » majuscule en vieil anglais (connu sous le nom de « J » cursif).

     

    Quelle est l’origine de « Yeshua » ?

     

    Suivant l’exemple de la version des Septante, les érudits chrétiens essayèrent de translittérer (faire correspondre les signes d’une autre écriture) le Nom du Sauveur comme il était écrit dans le grec.

     

    Les scribes juifs, lorsqu’ils écrivirent le nom de Yahweh dans les textes hébreux, insérèrent un shewa (:) au lieu des qamets ( ), changeant ainsi le son « ah » en « eh » pour éviter de prononcer la forme courte « Yah » du Nom Sacré.

    Cette pratique peut être encore constatée dans la traduction éronnée « JEHovah ». Jehovah est une meilleure traduction mais elle reste quand même incorrecte.

     

    Ainsi, nous obtenons le Nom du Sauveur qui commence avec « JE » alors que ce devrait être « YAH » comme dans « halleluYAH » en anglais (alléluia en français). On ne dit pas « halleluYEH » en anglais ou « alléluié » en français.

     

    Utilisant le « I » majuscule grec (iota), il n’insérèrent pas la voyelle « a » (alpha) mais acceptèrent dans l’ignorance les points de voyelles diacritiques hébreux et utilisèrent la lettre « e » (eta). Ainsi, le nom du Sauveur commença par « Ie…».

     

    L’alphabet grec ne comporte pas de « h » mais seulement une petite marque d’aspiration au début d’un mot qui apparaît sous forme d’apostrophe inversée. Aucun « h » n’apparaît donc en grec dans la forme poétique « Yah ».

    En fait, nous avons vu ci-dessus que la première partie du Tétragramme en grec s’écrirait « Ie » (sans le « h » d’origine) s’il fallait être constant avec la règle du « Yeh » données par les scribes juifs afin d’éviter de prononcer le son « Yah ».

    Les Juifs ne voulaient pas non plus associer le Nom de Yahweh avec celui du Sauveur, ce qui aurait pu être considéré comme la reconnaissance de son statut de véritable Fils de Yahweh venu au Nom de Son Père.

     

    Le grec n’a pas de son « ch », donc seul le « s » (ou sigma) apparaît. Jusque-là, nous avons les trois premières lettres du Nom du Sauveur, « IES ».

    Dans le grec, ces trois lettres sont suivies par un « o » (ou omicron), qui a un son court, comme dans « vélo ». Arrive ensuite le « u » (ou upsilon), qui est prononcé « ou ».

     

    Donc la translittération en grec est quelque chose comme « I-ess-ou-uh ».

    En le prononçant rapidement, on obtient un résultat proche qui est « Yesouah », en se rappelant qu’il n’y a pas de son « ch ».

    En grec, le Nom du Sauveur apparaît sous la forme « IESOUS » (avec la terminaison grecque typique en « s »). La translittération latine fut ensuite élaborée essentiellement à partir du texte grec, contournant ainsi l’hébreu d’origine.

    Yahshua = Iesous en grec

    Comme le Nom du Sauveur fut ensuite translittéré en latin directement à partir de la traduction grecque, nous avons la terminaison « s » (nominatif masculin singulier), et le nom fut donc introduit en latin sous la forme Iesous, qui devint plus tard Iesus.

     

    Lorsque l’on donna au « I » majuscule un tiret cursif il y a environ 500 ans pour ainsi devenir le « J », il prit aussi le son du « J » français comme dans le mot « journal ».

    Le nom du Sauveur fut ainsi altéré en devenant « Jesus » en anglais ou « Jésus » en français.

     

    Cependant, en latin le « j » est prononcé comme un « i ». Autrefois la Yougoslavie s’épelait en anglais Jugoslavia, mais était prononcé Yugoslavia, comme c’est toujours le cas à l’heure actuelle.

     

    Les cartes (en langue anglaise) à la fin du siècle dernier indiquaient souvent l’U.R.S.S. comme « Sowjet Russiah » (ce qui signifie littéralement Russie soviétique). Le « j » était prononcé comme un « i » et le « w » prononcé comme le « v » germanique. Le mot « major » est prononcé « mayor » à la fois en latin et en allemand. Les mots June et July sont prononcés « Youne » et « Youli ».

     

    Tout ceci peut sembler pénible et technique, mais c’est nécessaire pour montrer la preuve que le nom du Sauveur hébreu est Yahshua.

    Il est venu au nom de Son Père, « YAH ».

    Si les traducteurs chrétiens étaient remontés à l’hébreu d’origine, Son Nom aurait pu être fidèlement préservé dans sa forme correcte qui est « Yahshua ».

    Au contraire, Son nom passa du grec au latin, puis à l’anglais ou au français, perdant ainsi l’hébreu. Nous avons donc obtenu un nom hybride gréco-latin au lieu du Nom saint et salvateur Yahshua.

    C’est comme si l’on déplaçait sans arrêt des pièces de monnaie d’une poche à une autre en en perdant un petit peu à chaque fois.

     

    La nécessité de Son Nom

     

    Son nom signifie « le salut de Yah ».

    Rien de comparable ne peut être glané du nom « Jésus » qui a été créé par les hommes, qui est erroné et qui s’est développé premièrement chez des scribes juifs superstitieux, et qui s’est ensuite perpétué par l’ignorance d’érudits chrétiens qui étaient ridiculisés par les Juifs pour leur manque de connaissance linguistique de l’hébreu.

     

    Paul révèle :

    « Yahweh l’a [Yahshua] souverainement élevé et Lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Yahshua tout genou fléchisse…» (Phil. 2 : 9-10).

    Le nom que Yahweh donna à Miriam  par lequel Son fils devait être appelé, c’était Yahshua !

    Ceci peut être prouvé par les notes explicatives en marge de Matthieu 1 : 21 et Luc 1 : 31 dans de nombreuses traductions de la Bible.

    Les traducteurs ont substitué et caché le saint Nom et nous ont donné le nom hybride Jésus. Mais ce n’est tout simplement pas Son Nom !

     

    De plus, Paul dit que la famille entière de Yahweh sera appelée par le précieux nom de « Yah » (Éph. 3 : 15).

    Certains prophètes ont porté Son nom, comme par exemple IsaYah (Ésaïe), ObadYah (Abdias), ZephanYah (Sophonie), ZecharYah (Zacharie) et JeremYah (Jérémie).

     

    Nous allons recevoir du Père un nom spécifique par lequel nous serons connus.

    Comment quelqu’un peut-il mépriser, ridiculiser et rejeter le Nom Yahweh maintenant, et ensuite l’aimer et lui rendre hommage – et être appelé par ce nom – dans le royaume ?

     

    Les noms dans la Bible ont une grande importance et des significations bien précises.

    Ils nous donnent une compréhension plus approfondie. Yahweh a ainsi placé devant nous une porte qui mène à plus de vérité.

    Son salut est dans le Nom de Son Fils Yahshua, et nous devons garder Sa parole et ne pas renier Son Nom (Apocalypse 3 : 8).

    Il n’y a sous le ciel aucun autre nom que Yahshua et c’est à travers Lui que nous sommes sauvés.

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    SORTEZ DU MILIEU D'ELLE

     

    SORTEZ DU MILIEU D'ELLE

     

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    source : http://blog.qehila.info/7/nos-publications/

    Note de Liliane : Je vous propose une publication de notre frère en question. Je l'ai téléchargée, elle est longue, complexe mais complète.

    Une riche lecture qui reprend depuis le début la "sortie d’Égypte, de Sodome et de Babylone" pour nous amener, bibliquement, à comprendre le fameux "Sortez du milieu d'elle" multiple fois dit dans toute la Parole, jusqu'aux deux églises parmi les 7 dans Révélation (Apocalypse).

    Bonne méditation sous le Regard de Yahshoua avec son Souffle de Vérité , le Ruah Ha kodesH, pour la Gloire seule de YHWH notre Elohim.

     

    LE GUIDE DES EGARES  DE BABYLONE,  SODOME ET EGYPTE 

    Télécharger « sortez-du-milieu-delle-A4.pdf »

     

     

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