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    Le rapport alarmiste du GIEC contesté : 500 scientifiques et experts du climat saisissent l’ONU « il n’y a pas d’urgence climatique ! ». 40 experts français ont signé

     

    Le rapport alarmiste du GIEC contesté : 500 scientifiques et experts du climat saisissent l’ONU « il n’y a pas d’urgence climatique ! ». 40 experts français ont signé

     

    Un courrier signé par 500 scientifiques et professionnels, dont 40 pour la France, vient d’être adressé à António Guterres, secrétaire général des Nations unies, ainsi qu’à Patricia Espinosa Cantellano, secrétaire exécutive de la Convention-cadres des Nations unies sur les changements climatiques.

    Lancée par Guus Berkhout, géophysicien professeur émérite à l’université de La Haye (Pays-Bas), cette initiative est le fruit d’une collaboration de scientifiques et associations de treize pays. Publiée au moment où l’agenda international place une nouvelle fois le climat en tête des préoccupations, cette « Déclaration Européenne sur le Climat » est destinée à faire savoir qu’il n’y ni urgence ni crise climatique. Elle appelle donc à ce que les politiques climatiques soient entièrement repensées, et reconnaissent en particulier que le réchauffement observé est moindre que prévu, et que le gaz carbonique, loin d’être un polluant, est bénéfique pour la vie sur Terre.

    Ci-dessous une traduction de cette lettre (suivie de la lettre originale en anglais). À faire circuler aussi largement que possible.

    Professeur Guus Berkhout
    Catsheuvel 93, 2517 KA La Haye
    guus.berkhout@clintel.org

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    Officiers guinéens reçus à bord d'un bateau de guerre soviétique, Conakry 1973

     

    La coopération entre la Russie et la Guinée dans le domaine militaire et technique a atteint un niveau stratégique et continue de se développer, a déclaré l'ambassadeur de la République de Guinée à Moscou, Mohamed Keita, dans une interview à RIA Novosti.

    Le diplomate a rappelé que la Guinée coopérait activement dans le domaine militaire avec la Russie depuis son indépendance en 1958.

    "C'était alors l'Union soviétique. Notre coopération a commencé par la formation du personnel militaire à tous les niveaux et dans tous les domaines – moyen et supérieur. Nous envoyions l'armée étudier en Russie dans les écoles d'aviation, les écoles de la marine, les universités de l'armée de terre. Ce processus ne s'est jamais arrêté jusqu'à aujourd'hui", a déclaré l'ambassadeur.

    "Nos militaires ont de l'équipement russe depuis cette époque jusqu'à aujourd'hui. Nous avons des chars russes, des avions, des navires de guerre. L'e corps des officiers, avant tout, les officiers supérieurs, a été formé en Russie. Nous restons dans un tel contexte de coopération et, jusqu'à aujourd'hui, celle-ci continue d'évoluer. Je peux dire que nous avons atteint un niveau stratégique de coopération dans le domaine militaire", a déclaré M. Keita.

    En 2018, la Russie et la Guinée ont conclu, pour la première fois depuis l'effondrement de l'URSS, un accord de coopération militaire.

    Signature de l'accord russo-guinéen, Moscou, 04/04/2018



    Le document a été signé le 4 avril 2018 à Moscou au cours de la rencontre entre le ministre russe de la défense, le général d'armée Sergueï Choïgou, et le ministre d'Etat auprès du président de la République de Guinée pour la défense nationale, Mohamed Diané.

    Sergueï Choïgou a noté que cet accord sur la coopération militaire permettra de relancer la coopération fructueuse qui existait à l'époque de l'URSS dans ce domaine.

    "L'intensification des liens entre les départements militaires, à notre avis, est dans l'intérêt des deux pays", a, alors, souligné le ministre russe de la défense.

    Selon lui, "la coopération russo-guinéenne est dynamique".

    En septembre 2017 a eu lieu la visite officielle du président guinéen en Russie et ses négociations avec Vladimir Poutine.

    "Cet événement important a donné une impulsion supplémentaire à la poursuite du renforcement des liens russo-guinéens mutuellement bénéfiques dans les domaines politique, commercial, économique, de défense, humanitaire et autres", a déclaré Sergueï Choïgou.

    Un élève guinéen de l'université spéciale de logistique militaire (Saint Petersbourg) offre des fleurs à sa prof de russe pour le 8 mars

    visite des lieux de culte de Saint Petersbourg par des élèves officiers guinéens de l'université spéciale de logistique militaire


    La Guinée, a-t-il déclaré, est "un partenaire fiable de la Russie en Afrique". "L'histoire de nos relations remonte à la fin des années 50 du siècle dernier, lorsque l'Union soviétique a apporté son soutien à la formation de votre Etat", a poursuivi le Ministre russe de la défense.

    Sergueï Choïgou a souligné qu'un dialogue politique durable est maintenu entre la Russie et la Guinée. La Guinée fait partie des pays d'Afrique concernés par le programme d'effacement de 20 milliards de $ de dettes africaines par la Russie annoncé par le Président Poutine en 2018. Il faut rappeler que le leader libéral pro-occidental et chouchou des médias français et européens Alexandre Navalny avait fait campagne contre l'effacement de cette dette africaine.

    "Les positions de nos pays coïncident sur les principaux problèmes internationaux et régionaux", a conclu le ministre russe de la défense.

     

    Sources :

    https://tvzvezda.ru/news/forces/content/3b3d32b3ba3d53e667195b2e6a60ea475f1293d7cb394d2631f08853b2ac852e

    https://vpk.name/news/328593_posol_gvinei_v_rossii_ocenil_uroven_sotrudnichestva_dvuh_stran_v_sfere_vts.html

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    Vladimir Poutine : « Les russes et les israéliens sont une seule et même famille avec une histoire commune »

     

    Vladimir Poutine : « Les russes et les israéliens sont une seule et même famille avec une histoire commune »

     

    Le président russe Vladimir Poutine a déclaré qu’il considérait Israël comme un Etat russophone et a désigné les russes et les israéliens comme une seule et même famille avec une histoire commune. Cette déclaration a été faite par le président russe lors d’un discours prononcé mardi 17 septembre au congrès de la Fondation mondiale « Keren ha-Yesod » qui se tenait à Moscou.

    « Les citoyens de Russie et d’Israël sont liés par des liens familiaux et amicaux. C’est une vraie famille que nous avons en commun. Je parle sans aucune
    exagération. Près de deux millions de citoyens israéliens russophones vivent dans ce pays, nous considérons Israël comme un Etat russophone », a déclaré le dirigeant russe, qui a souligné que « nos peuples sont unis par des pages d’histoire communes et souvent tragiques ».

    Poutine a noté que le « Keren ha-Yesod » fait beaucoup pour préserver la vérité historique sur la Seconde guerre mondiale. Ce sujet est important pour les russes et les citoyens russophones d’Israël.

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    « Il est important de transmettre aux générations qui suivent la vérité sur la terrible tragédie de l’holocauste, sur les terribles pertes subies par nos peuples, sur les crimes contre l’humanité commis par les nazis. C’est absolument nécessaire pour empêcher la montée de l’antisémitisme, de la xénophobie, de l’intolérance religieuse et raciale dans le monde d’aujourd’hui », a déclaré M. Poutine.

    Selon lui, « Les positions de la Russie et d’Israël, des peuples de nos pays sont identiques: nous considérons tout à fait inacceptable toute tentative de révision des résultats de la guerre, de distorsion de la vérité, de justification du fascisme et de ses sbires ».

    Le Président de la Fédération de Russie a ajouté qu’il avait invité les dirigeants israéliens à participer aux célébrations du 75e anniversaire de la Victoire de la grande guerre patriotique, en 2020. Il a également indiqué qu’il prévoyait de venir en Israël en janvier 2020.

    Le Président russe a aussi rappelé que les négociations entre le gouvernement israélien et la commission de l’union économique eurasiatique pour la création d’une zone de libre-échange entrent dans leur dernière phase, ce qui pourrait booster le commerce entre les deux pays, qui augmente sans discontinuer depuis 2012 (augmentation du volume du commerce entre les deux pays était de 9 % en 2018). Le gouvernement russe a aussi apprécié qu’Israël refuse de se joindre aux sanctions antirusses décrétées par les USA.

    Vladimir Poutine a toujours maintenu une position d’équilibre entre ses alliés historiques palestiniens, syriens et libanais d’un côté et une nouvelle relation avec Israël, où il utilise la carte de la russophonie pour exercer une influence discrète dans la politique de ce pays. Si la relation avec Ariel Sharon était quasi-fusionnelle (Vladimir Poutine a été l’un des seuls hommes politiques étrangers à être reçu en visite privée dans le ranch familial des Sharon), celle avec Netanyaou est plus compliquée, car même si ce dernier avait besoin de l’électorat russe pour se maintenir au pouvoir, son tropisme américain l’amenait à se confronter avec le président russe sur certains dossiers (comme, par exemple, sur l’Ukraine ou la Géorgie).La coopération sécuritaire, notamment entre le FSB russe et Shin Bet israélien est à un très haut niveau et la coopération militaire est aussi très intense et discrète.

    Rappelons que Keren ha-Yesod est une organisation chargée de recueillir des dons en faveur d’Israël. Ses filiales opèrent dans 45 pays du monde, y compris en Russie.

    Sources : Lemonderusse

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