•  

    Vivez et marchez dans la présence du Seigneur

     

    Vivez et marchez dans la présence du Seigneur



    "Voici, je suis avec vous tous les jours…" Matthieu 28.20

    Être conscient de la présence du Seigneur à vos côtés et expérimenter chaque jour, de façon continue, cette présence, vous fait entrer dans le repos de Dieu.

    Croyez-vous que le Seigneur est réellement en vous et avec vous ? Savez-vous qui il est véritablement ?

    Arrêtez-vous et réfléchissez-y un instant :

    - Il est le Prince de paix.
    - Il est le Grand Médecin de l'âme et du corps.
    - Il est le Chemin qui conduit au Père.
    - Il est la Vérité qui libère.
    - Il est la Victoire du chrétien.
    - Il est la Source de vie et donne la vie abondante.
    - Il a vaincu Satan et a détruit ses œuvres.
    - Il est l'Alpha et l'Omega
    - Il est le Rédempteur, la sainteté manifeste.
    - Il est la Lumière du monde.

    L'avez-vous reconnu ou continuez-vous à marcher avec lui, comme les disciples d'Emmaüs…? Il a dit : "…Je suis avec vous tous les jours…". Il vous a donné l'Esprit Saint pour qu'il vous ouvre les yeux spirituels et pour que vous appreniez à le reconnaître en toutes circonstances.

    L'Esprit Saint habite en vous. C'est un fait, une réalité spirituelle et non une simple promesse. Il est en vous pour vous révéler Christ, sa présence, son caractère, et sa puissance. Êtes-vous réellement conscient que vous êtes la maison d'habitation de Dieu en esprit?

    Le repos ou le manque de repos dans votre vie dépend en grande partie de cette révélation.

    "Mon enfant, tu es toujours avec moi…" (Luc 15.31) Telle est la déclaration de reproche du bon Père Céleste à ses enfants qu'il aime, mais qui ne réalisent pas ce grand privilège.

    Comme le sarment et le cep sont liés l'un à l'autre, vous aussi, vous êtes aussi uni au Seigneur. Sortez de la pensée esclavagiste du fils aîné de la parabole, et croyez que le Père vous aime et vous a placé en Christ. Christ est votre vie, votre force, votre victoire, votre refuge, votre rocher… Il vous suffit pour cette journée. Demeurez en lui et vous verrez sa gloire.

    Une prière pour aujourd'hui
    Père, je reconnais que je n'ai pas été souvent conscient(e) de ta présence en moi et avec moi, surtout dans les moments difficiles. Aujourd'hui, illumine les yeux de mon cœur pour que j'y croie et que j'y marche avec assurance.  Mamadou Karambiri

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  •  

     Quand Dieu permet l’affliction

     

    Quand Dieu permet l’affliction …  



         Avant que je fusse affligé, j’errais ; mais maintenant je garde ta parole. Psaume 119:67

         Il est bon pour moi que j’aie été affligé, afin que j’apprenne tes statuts. Psaume 119:71

         Je sais, ô Éternel ! Que tes jugements sont justice, et que c’est en fidélité que tu m’as affligé. Psaume 119:75

      Une sœur en Christ déclarait à une amie très proche : « Je sais maintenant pourquoi, après tant d’années de bonheur passées ensemble, mon mari s’est tué dans un accident de voiture. Sans cette douleur qui a bouleversé ma vie et m’a conduite au bord du désespoir, je serais restée incrédule alors que Dieu voulait faire de moi son enfant. La Bible est devenue mon soutien et ma consolation ». Cette confidence illustre les versets d’aujourd’hui : Dieu peut nous faire passer par l’épreuve pour nous bénir éternellement.

      Chers amis, dans tous les cas, c’est parce que Dieu nous aime qu’il permet la souffrance. Cela nous paraît parfois incompréhensible quand la douleur nous atteint dans nos affections les plus vives ou dans notre propre corps. Nous nous posons de multiples « pourquoi : « pourquoi le deuil ? la maladie ? la souffrance ? Dieu peut avoir de multiples raisons pour agir comme il le fait car il agit « en fidélité ».

      Il veut nous apprendre, par l’expérience, qu’en lui seul se trouve la vraie joie ; il désire aussi que la douleur ne domine pas sur nous : il veut, dans sa grâce, faire de son enfant éprouvé un vainqueur en face de l’affliction et non pas un esclave terrassé par elle.

      Il ne s’agit pas de se raidir d’une manière stoïque contre la douleur, mais de réaliser que le secours divin nous est acquis. Certes, Dieu ne nous donne pas une provision de courage pour toute notre vie, ni même pour toute la journée qui commence. Mais, à chaque pas, notre Père, plein d’amour, nous encourage ; à chaque pas la sympathie bienveillante de Jésus Christ nous enveloppe. Nous sommes en mesure de détourner nos regards de nous-mêmes, et de remercier Dieu pour ses consolations.

      Sa grâce peut alors nous conduire à consoler les autres par les consolations que nous avons nous-mêmes reçues (2Co 1). Plaire au Seigneur

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire