•  

    fruit-coupe1

    DES SEMI-CHRETIENS

    Par David Wilkerson

    Salomon a compartimenté sa vie : à moitié pour Dieu et à moitié pour ses plaisirs. La Parole de Dieu ne l’avait convaincu qu’à moitié. Il n’a expérimenté qu’à moitié la tristesse pour le péché, qu’à moitié la repentance… ce qui a produit seulement des semi-changements !

     

    Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais Salomon n’a été qu’à moitié convaincu qu’il ne devait pas vivre avec sa femme païenne dans le lieu saint, à proximité de l’arche. Alors, il a décidé de la déménager à moitié, à l’autre bout de la ville !

    “Salomon fit monter la fille du pharaon de la ville de David jusque dans la maison qu’il lui avait construite, car il dit : « Ma femme n’habitera pas dans la maison de David, parce que les lieux où est entrée l’arche de l’Éternel sont saints. »” (2 Chroniques 8:11)

    La vérité, c’est que Salomon ne voulait pas renoncer à elle ! Il savait dans son cœur que c’était mal, et ça le travaillait intérieurement. Je peux l’entendre dire : “Oui, je dois faire quelque chose à ce sujet. Je vais montrer au Seigneur que je veux faire ce qui est bien.” Mais l’a-t-il renvoyée en Égypte ?

    Nos églises, aujourd’hui, sont pleines de semi-chrétiens : à moitié convaincus par la Parole et à moitié repentants, faisant des demi-changements dans leur vie.

    Il y a très peu de “tremblements à la Parole.

    J’entends tant de gens qui vivent encore dans des péchés flagrants, qui font encore les mêmes choses qu’avant. Ils disent : “Dieu sait que je veux bien faire. Il voit mon cœur. J’aime réellement le Seigneur. J’ai déjà opéré quelques changements et je m’améliore.

    Ce n’est pas suffisant de vouloir bien faire. Nous devons le faire !

    Salomon avait terminé le temple et avait fini tous ses projets de construction. Mais il vivait encore dans la désobéissance sous certains aspects, n’y voyant pas de danger. Mais Dieu était tellement miséricordieux qu’Il a continué à répondre à ses prières. Salomon continuait à aller offrir des sacrifices trois fois par an et il était joyeux et heureux dans la présence du Seigneur.

    Je crois que c’est la position la plus dangereuse dans laquelle un chrétien peut se retrouver : ses prières sont encore exaucées et il y a de la joie et du bonheur. Mais il reste cependant des zones de désobéissance, où la Parole ne fait pas autorité de façon absolue, et le croyant est aveugle à la détérioration qui commence.

    Dieu est apparu à nouveau à Salomon avec un sermon fort, une Parole puissante :

    “Marche dans l’intégrité. Obéis à Ma Parole.”

    Pendant tout ce temps, Salomon glissait peu à peu loin de Dieu, s’endurcissant et devenant insensible à la Parole, aveuglé par Ses bénédictions et Ses grâces. Combien de chrétiens sont bénis, ressentent la présence de l’Esprit de Dieu, se réjouissent en Lui et se disent : “Tout va bien puisque Dieu me bénit”?

    MAIS…

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  •  

     

    Un enfant gelé et une foule indifférente

     

    Mais dans la foule, un autre « sans-abri », pris lui, de compassion !

     

    Frédéric nous envoie cette vidéo avec la question suivante: que ferait Jésus face à cette situation ? » !

    On le sait par la parabole du bon Samaritain, qui est le « prochain » ! Et ce qu’il a dit: « Ce que vous faites au plus petit de mes frères, c’est à moi que vous le faites ».

    Je pose une autre question: combien de « bons Chrétiens » sont passés devant cet enfant sans s’arrêter. On est aux Etats-Unis: 30 % des gens se disent chrétiens. Le spectacle est éloquent !

     

    Et encore une autre question: Et nous-mêmes, que ferions-nous ? … Ne répondons pas trop vite !

     

    Commentaire sur un site qui a posté cette vidéo:

     

    http://bridoz.com/cet-enfant-sans-abri-etait-en-train-de-geler-sur-place-et-personne-ne-sen-inquietait-je-naurais-jamais-cru-que-cet-homme-allait-etre-le-seul-a-le-faire/

    Dans notre monde contemporain, le nombre de sans-abris est chaque minute de plus en plus important. Et lorsque des parents perdent leur emploi, leurs enfants sont de plus en plus nombreux à être abandonnés, et laissés dans la rue pour y faire la manche. À mesure que leur vie se complique, ils perdent leurs amis, jusqu’à ce qu’ils finissent seuls, à devoir se nourrir sans le moindre argent.

    Les personnes aisées ont tendance à ignorer les sans-abris, quelle que soit la décrépitude de leur apparence. Ces personnes ignorent ce que ça fait d’être pauvre et, comme ces sans-abris, d’avoir touché le fond. Et donc il ne reste plus, pour aider et réconforter les sans-abris, que d’autres personnes dans la même situation qu’eux.

    Dans le cadre de cette expérience sociale, un enfant a été laissé seul, dehors, par des températures glaciales. Pour seul vêtement, il n’avait qu’une chemise, et un sac-poubelle pour tenter de se protéger du vent polaire. Pendant deux heures, les gens sont passés près de lui sans même lui jeter le moindre coup d’œil. Et puis un homme s’est approché. Bien qu’il soit lui aussi sans-abri, il a donné sa veste au garçon, et l’a réconforté de quelques mots que l’enfant n’oubliera probablement jamais

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  •  

     

    Parole d’Espoir

     

    Pour les Chrétiens fatigués et découragés,

    Par Théophile Hammann

     

    Parole d’Espoir N°1 – Parler avec Dieu

     

    Parole d’Espoir N°2 – Une source cachée

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire