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Par sentineline le 22 Novembre 2014 à 10:11Quand mon père et ma mère m'auraient abandonné, l'Éternel me recueillera.
Psaume 27. 10
Le Seigneur est mon aide; je ne craindrai pas: que me fera l'homme?
Hébreux 13. 6
Ce livre ne m'a pas laissée tranquille
“Dès ma plus tendre enfance, ma vie a été marquée par des déceptions. Mal aimée de mes parents, je voulais trouver l'amour dans le monde. J'ai recherché le bonheur dans la musique et les drogues. J'étais employée dans une administration communale, et extérieurement tout était en ordre. Pourtant, en moi, c'était l'enfer de la dépendance à l'héroïne. Un jour, j'ai été arrêtée et incarcérée à Munich. Les médecins pensaient que je ne survivrais pas. J'étais en effet bourrée de drogues et j'avais une mauvaise jaunisse. Pourtant, Dieu m'a sauvée de la mort. Après une affreuse semaine, j'ai survécu à la désintoxication physique, mais je continuais ma vie comme avant. Jusqu'à ce que je trouve une Bible. Je l'ai mise tout au fond de l'armoire de ma cellule, bien décidée à ne pas la lire.
Curieusement, ce livre dans mon armoire ne m'a pas laissée tranquille. Finalement, je l'ai pris, l'ai ouvert, et ce que j'ai lu m'a bouleversée. Il est dit que Dieu est le Seigneur, le Roi. Il est le Seigneur, fort et puissant, puissant dans le combat. Et il est écrit que ce Seigneur est mon aide; je n'aurai pas peur (lire les Psaumes 25 et 118).
Lorsque j'ai lu ces paroles, j'ai pleuré, car toute ma vie j'avais lutté pour trouver de l'attention et de l'amour. Puis, j'ai prié: “Dieu, si tu veux vraiment combattre pour moi, alors je veux venir à toi.” C'était en août 1986. Depuis lors, j'ai appris à mieux connaître Dieu, et il m'a délivrée. Je lui en suis reconnaissante du fond du cœur.”
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Par sentineline le 22 Novembre 2014 à 10:04
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Par sentineline le 22 Novembre 2014 à 09:56
"Jésus" le vit et lui dit:… Il faut que je demeure aujourd'hui dans ta maison.
Luc 19.v 5
[Jésus] entre là où l'enfant était couchée.
Il prit la main de l'enfant et lui dit:… Jeune fille, je te dis, lève-toi. Aussitôt la jeune fille se leva et se mit à marcher… et ils furent saisis d'une grande admiration.Marc 5. 40, 41
La vie de l'enfant (1)
Au temps du prophète Élisée, vivait une femme riche. Elle avait reconnu dans le prophète un “homme de Dieu”, et lui avait offert l'hospitalité dans sa maison. Elle avait même persuadé son mari d'aménager une petite chambre spécialement pour lui. Mais cette femme n'avait pas d'enfant, et Élisée, connaissant sa tristesse, lui avait promis qu'elle aurait un fils.
L'enfant naît, il grandit. Un matin, il se plaint de la tête. À midi, l'enfant meurt sur les genoux de sa mère. Que va-t-elle faire? Pleurer et enterrer l'enfant? Non!
Elle le couche sur le lit du prophète. Puis cette femme de foi s'en va trouver la seule personne qui peut l'aider: Élisée, l'homme de Dieu. Elle semble dire: “Si c'est toi qui nous a donné cet enfant, tu ne peux pas le laisser mourir maintenant. Il faut que tu t'en occupes”. Et elle insiste pour qu'il vienne chez elle sans délai. Élisée envoie d'abord son serviteur, mais celui-ci est incapable de faire revivre l'enfant. Quand Élisée arrive, l'enfant est étendu sur son lit, mort. Le prophète supplie alors l'Éternel, et rend l'enfant vivant à sa mère.
Mères chrétiennes, le Seigneur vous a donné des enfants. Son désir est qu'ils aient la vie éternelle, et non qu'ils soient perdus. Mais vous ne pouvez pas la leur communiquer, le Seigneur seul le peut. Faites venir le Seigneur Jésus – figuré dans ce récit par Élisée – dans votre maison. Il faut que, dans votre foyer, il ait son “chez-lui”.
3º textoGloriaV
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